Dans ce genre de recherches, ça montre bien à quel point l’interprétation des vieux actes notariés peut être piégeuse : entre l’écriture manuscrite, les abréviations et les variantes de noms (un coup “Delanovaz”, un coup “de la Muraz”), on peut vite se tromper.
Pour l’aspect immobilier, c’est aussi une bonne piqûre de rappel : ces contrats dotaux et actes de notaires d’Ancien Régime sont justement les ancêtres de nos actes de vente, partages et successions actuels. Ils fixaient déjà la transmission du patrimoine foncier (terres, maisons, héritages familiaux). Voir
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Bref, même si c’est de la généalogie, on retrouve tout l’esprit de l’immobilier : propriété, transmission et rôle central du notaire dans la sécurisation des biens.