émigration

[christine bonvalet]

Bonjour
Mon arrière grand-père et trois de ses frères ont émigré en Argentine entre 1881 et 1883 . Georges , Joseph , François et Jean Poex venaient de Rumilly . Par le CEMLA j'ai obtenu les dates d'arrivée à Buenos Aires, dans les registres consulaires j'ai trouvé l'inscription au consulat de trois d'entre eux . Chez les Mormons j'ai découvert quelques actes ( mariages de deux de mes arrières grands-oncles et naissances de certains de leurs enfants) et des références d'autres actes dans des registres paroissiaux , tout particulièrement du mariage de mes arrières grands-parents ( François Poex et Marie Denise Benoit) ainsi que de la naissance de ma grand-mère et de ses frères . Grâce aux amis argentins de Genfrancesa j'espère en apprendre plus . Après ce long préambule ma question est la suivante : de quels documents avait-on besoin pour partir ? les demandes de passeports ont-elles été conservées ? Ma grand-mère , née en 1889 à Exaltacion de la cruz , a été envoyée en France à l'âge de 4 ou 5 ans , après la mort de sa mère et le remariage de son père . Il a bien fallu qu'elle dispose de documents d'état civil . Je n'ai que le livret de famille , établi lors de son mariage , en 1910.
Je me propose , dans les mois à venir, d'aller à Rumilly et à Annecy pour mener quelques recherches mais je ne suis pas très compétente et quelques conseils me seraient bien utiles .
Bien cordialement .
C. Bonvalet

[ASSOUS]

bonsoir,

j'ai une POEX Henriette âge 52 a, ménagère, habitant au 12 rue de l'Isle à Annecy en 1861 habitant avec LAVY Jean Pierre jardinier âge 75 a

Amicalement

[christine bonvalet]

Bonjour Luc et merci . Je ne sais pas qui est cette henriette Poex . A quoi la date de 1861 correspond-elle ?
Cordialement
Christine

[BALLEYDIER]

Bonjour Luc et merci . Je ne sais pas qui est cette henriette Poex . A quoi la date de 1861 correspond-elle ?
Cordialement
Christine

Bonjour Chritine,
la date de 1861 correspond au recencement d'ANNECY que Luc est en train de dépouiller,
pour rappel les recencements ont eu lieu en 1861/1866/1872/1876/1881/1886/1891/1896/1901/1906/1911/1921/1926/1931/1936/1946/1954/1962/1968/1975/1982/1990 et après,je ne sais plus:-)
ils sont accessibles en principe au bout de 30 ans,mais je pense qu'avec les nouvelles directives,ce sera 100 ans,en tout cas,sur le site, si j'ai bien compris,apparaitront en 201 ceux de 1906 au maxi:-)

ATTENTION,je n'ai pas dit qu'ils étaient tous photographiés et qu'ils le seraient je vois déjà Bernard sauter sur sa chaise

bonne journée à toutes et tous,
bises,pognes et amitiés
Phyl

[ASSOUS]

Bonjour Luc et merci . Je ne sais pas qui est cette henriette Poex . A quoi la date de 1861 correspond-elle ?
Cordialement
Christine

bonjour,

comme le dit si bien notre ami Phyl, il s'agit des recensements de 1861 sur Annecy ( 42 photographies saisies sur plus de 170....) et 2050 saisies à ce jour sur cette année.

Bises

[Bernard-Thonon]

même pas sursauté j'avais pas vu !


mais bon les travaux pharaoniques je les laisse au chef !

[Bernard-Thonon]

L'association Savoie-Argentine change de président
jeudi 24.03.2011, 14:00
Raymond Chevallay succède à Jean Favre.

Raymond Chevallay a été désigné président de l'association Savoie-Argentine en remplacement du Champangeois Jean Favre qui occupait la fonction depuis 15 ans.

Le 11 février dernier, le comité directeur de l'association Savoie-Argentine a désigné Raymond Chevallay comme nouveau président. « Je suis originaire de Bernex bien que j'ai quitté la région il y a 45 ans pour mon travail », explique cet ancien journaliste. Contrairement à d'autres membres de l'association, Raymond Chevallay n'a pas de parents en Argentine mais il y fait de fréquents voyages. « Un jour, j'ai accompagné ma fille à Buenos Aires et j'ai découvert l'histoire de l'émigration savoyarde qui depuis me passionne . »
Cousins et francophones
L'association Savoie-Argentine regroupe aujourd'hui 375 familles et vise à entretenir les liens avec les descendants des émigrants savoyards du XIX e siècle. Au fil des ans, l'association a tissé un réseau basé sur les villes de San José, Villa Elisa et Colon où se concentrent les descendants savoyards. « Des centres culturels ont été ouverts dans ces villes, on y donne des cours de français, par exemple. Il s'agit de préserver les liens avec l'émigration mais aussi de soutenir la francophonie. C'est d'autant plus important qu'aujourd'hui l'enseignement du français a tendance à se raréfier en Argentine. Il ne faut pas oublier que là-bas des gens comptent sur nous », explique Raymond Chevallay qui entend voir l'association jouer pleinement son rôle en la matière. « Nous réfléchissons d'ailleurs à nous joindre à un réseau associatif défendant l'enseignement de la langue française. »
Rajeunir
Mais l'objectif principal que s'est assigné le nouveau président est d'abord de rajeunir les cadres : « La moyenne d'âge des adhérents est aujourd'hui aux alentours de 66 ans. Nous avons besoin de renouveler nos cadres et de trouver des adhérents beaucoup plus jeunes.
» Avant de mettre en musique ses idées, Raymond Chevallay devra se faire mieux connaître des adhérents. « Pour le moment, peu de gens me connaissent dans l'association. C'est peut-être un handicap mais si je suis apparu comme le meilleur choix pour la présidence c'est surtout parce que je me rends en Argentine trois ou quatre fois par an. Cela devrait faciliter les rapports. »
JULIEN BERRIER

Contact : http://www.savoie-argentine.asso.fr" onclick="window.open(this.href);return false;




Le Messager
« Tout le monde avait oublié cette histoire » « J'étais président de l'association depuis déjà 15 ans. Il est temps de rajeunir les cadres et puis, les structures de l'association sont très saines. Il vaut mieux partir dans ses conditions », sourit Jean Favre en laissant la présidence. « Mais je ne quitte pas l'association. L'idée c'est d'accompagner Raymond Chevallay. » Maire de Champanges pendant 30 ans, Jean Favre était devenu un des moteurs de l'association. « A l'époque, 20 % de la population de Champanges est partie pour l'Argentine. Cela fait partie des légendes de mon enfance. » Jean Favre était d'ailleurs de la première délégation chablaisenne à s'être rendue en Argentine en 1990. « Nous étions 236 et près de 2 000 personnes nous attendaient. Ils avaient des pancartes avec leurs noms. Que des noms savoyards ! » Depuis, des liens forts se sont tissés des deux côtés de l'Atlantique. « Tout le monde avait oublié cette histoire depuis un siècle. Il est important de se souvenir de ces Chablaisiens qui ont fui une misère terrible, du courage qu'il leur a fallu pour accomplir ce voyage sans retour. »