recherches pour nos cousins argentins
Posté : 21 mars 2013, 08:08
Bonjour,
je vous passe la demande du Centre Savoyard de San José, qui presse avec toutes mes excuses car c'est une demande ancienne qui m'a échappée:
En dessous, l'e-mail que j'ai reçu du Musée de l'Holocauste au Buenos Aires, en demandant des renseignements sur José Alphonse MAXIT. La vérité consiste en ce que nous avons chez la famille beaucoup de JUILLETS et aussi quelques ALFONSOS, mais ils ne coïncident pas avec celui qui est cherché. Nous avons su de l'existence de ce monsieur très il y a peu de temps à travers d'un article apparu dans un journal argentin que l'on se nomme LA NATION, mais maintenant nous avons pour nouveauté qu'UN JUILLET ALPHONSE aurait résidé dans VINZIER. Je sais qu'il y a UN MAXIT dans VINZIER, mais ils ne m'ont commenté jamais qu'il y avait un MAXIT mort sur un camp de concentration.Auriez-vous un type d'information à ce sujet ? Je pense qu'il est très probable que ce JUILLET ALPHONSE ne soit pas né au San Juan mais je m'incline plus par VINZIER le 24 avril 1894.
Le Musée de l'Holocauste du Buenos Aires a initié une recherche sur des questions rapportées à l'Argentine et l'Holocauste. L'objectif principal de cette recherche est de connaître la destination subie par des citoyens argentins qui ont été victimes des Allemands ou de ses collaborateurs dans la période 1933-1945. Entre les victimes dont j'ai pu trouver un registre même Julio Alphonse MAXIT se trouve le moment. Selon l'information et les registres officiels dont j'ai pu obtenir une information, il serait né le 24 avril 1894 au San Juan, une province du San Juan. Il a résidé dans Vinzier, en France.Il a été un chauffeur et 93-24 a appartenu au groupe de la Résistance FTP. Arrêté pour la Gestapo le 20 mai 1944. Un déporté de la France depuis Compiègne. Interné le 20 juin 1944 dans le domaine d'une concentration de Dachau, de l'Allemagne. Il est mort le 9 janvier 1945 à Dachau, en Allemagne. Son corps est été brulé et ses cendres répandues sur le champ. Je me mets en rapport avec vous parce que comme j'ai pu vérifier à travers une recherche peu sérieuse par Internet, Julio Alphonse Maxit aurait résidé dans la colonie du Saint-Joseph, Entre les Rivières.Je serais extrêmement reconnaissante s'ils pouvaient confirmer cette information et, si possible, ils pouvaient l'agrandir avec n'importe quel type d'information, spécialement un documentaire, sur sa vie et séjour en Argentine. Un de ses descendants connaît, il le remercierait aussi que je m'ai indiqué une manière de lui pouvoir contacter pour la même fin. En cours les résultats de la recherche continuent comme unique fin de réaliser un apport à la vérité et la connaissance historique, sans aucune intention de léser le droit à l'intimité personnelle ou familiale. Je vous qui se demanderont l'autorisation pertinente dans le cas de vouloir divulguer les données obtenues par son intermède lui garantis soyez déjà dans des publications scientifiques du Musée ou dans des exhibitions permanentes ou temporaires.
Je vous écrits pour vous demander si vous avez un type d'information sur le nom de famille Decurgez. Nous avions un immigrant appelé Julien Decurgez de Thonon. Mais je crois que cela n'est pas correct. Une autre information que nous avons consiste en ce que Julien s'est marié dans Colombey, la Suisse avec Sofía Borgeaud et ils ont eu 3 fils qui sont nés chez une Suissesse et avec qui ils sont partis pour l'Argentine en 1857. Aurait-il une information à ce sujet ? Vous recevez un salut cordial
Salut Luc : je n'ai pas reçu ses nouvelles à propos de la commande de données sur Julio Alphonse Maxit et comme aujourd'hui j'ai reçu un nouvel e-mail du Musée de l'Holocauste, je recommence à le gêner pour voir s'il est possible qu'à travers de son influence il peut obtenir un type d'information. Comme je lui dis dans mon e-mail antérieur, Julio Alphonse Maxit serait né dans Vinzier. Est-il possible que quelqu'un peut photographier l'acte de naissance et qu'ils me l'envoient ? Depuis je lui remercie déjà les ennuis. Vous recevez un salut cordial
je vous passe la demande du Centre Savoyard de San José, qui presse avec toutes mes excuses car c'est une demande ancienne qui m'a échappée:
En dessous, l'e-mail que j'ai reçu du Musée de l'Holocauste au Buenos Aires, en demandant des renseignements sur José Alphonse MAXIT. La vérité consiste en ce que nous avons chez la famille beaucoup de JUILLETS et aussi quelques ALFONSOS, mais ils ne coïncident pas avec celui qui est cherché. Nous avons su de l'existence de ce monsieur très il y a peu de temps à travers d'un article apparu dans un journal argentin que l'on se nomme LA NATION, mais maintenant nous avons pour nouveauté qu'UN JUILLET ALPHONSE aurait résidé dans VINZIER. Je sais qu'il y a UN MAXIT dans VINZIER, mais ils ne m'ont commenté jamais qu'il y avait un MAXIT mort sur un camp de concentration.Auriez-vous un type d'information à ce sujet ? Je pense qu'il est très probable que ce JUILLET ALPHONSE ne soit pas né au San Juan mais je m'incline plus par VINZIER le 24 avril 1894.
Le Musée de l'Holocauste du Buenos Aires a initié une recherche sur des questions rapportées à l'Argentine et l'Holocauste. L'objectif principal de cette recherche est de connaître la destination subie par des citoyens argentins qui ont été victimes des Allemands ou de ses collaborateurs dans la période 1933-1945. Entre les victimes dont j'ai pu trouver un registre même Julio Alphonse MAXIT se trouve le moment. Selon l'information et les registres officiels dont j'ai pu obtenir une information, il serait né le 24 avril 1894 au San Juan, une province du San Juan. Il a résidé dans Vinzier, en France.Il a été un chauffeur et 93-24 a appartenu au groupe de la Résistance FTP. Arrêté pour la Gestapo le 20 mai 1944. Un déporté de la France depuis Compiègne. Interné le 20 juin 1944 dans le domaine d'une concentration de Dachau, de l'Allemagne. Il est mort le 9 janvier 1945 à Dachau, en Allemagne. Son corps est été brulé et ses cendres répandues sur le champ. Je me mets en rapport avec vous parce que comme j'ai pu vérifier à travers une recherche peu sérieuse par Internet, Julio Alphonse Maxit aurait résidé dans la colonie du Saint-Joseph, Entre les Rivières.Je serais extrêmement reconnaissante s'ils pouvaient confirmer cette information et, si possible, ils pouvaient l'agrandir avec n'importe quel type d'information, spécialement un documentaire, sur sa vie et séjour en Argentine. Un de ses descendants connaît, il le remercierait aussi que je m'ai indiqué une manière de lui pouvoir contacter pour la même fin. En cours les résultats de la recherche continuent comme unique fin de réaliser un apport à la vérité et la connaissance historique, sans aucune intention de léser le droit à l'intimité personnelle ou familiale. Je vous qui se demanderont l'autorisation pertinente dans le cas de vouloir divulguer les données obtenues par son intermède lui garantis soyez déjà dans des publications scientifiques du Musée ou dans des exhibitions permanentes ou temporaires.
Je vous écrits pour vous demander si vous avez un type d'information sur le nom de famille Decurgez. Nous avions un immigrant appelé Julien Decurgez de Thonon. Mais je crois que cela n'est pas correct. Une autre information que nous avons consiste en ce que Julien s'est marié dans Colombey, la Suisse avec Sofía Borgeaud et ils ont eu 3 fils qui sont nés chez une Suissesse et avec qui ils sont partis pour l'Argentine en 1857. Aurait-il une information à ce sujet ? Vous recevez un salut cordial
Salut Luc : je n'ai pas reçu ses nouvelles à propos de la commande de données sur Julio Alphonse Maxit et comme aujourd'hui j'ai reçu un nouvel e-mail du Musée de l'Holocauste, je recommence à le gêner pour voir s'il est possible qu'à travers de son influence il peut obtenir un type d'information. Comme je lui dis dans mon e-mail antérieur, Julio Alphonse Maxit serait né dans Vinzier. Est-il possible que quelqu'un peut photographier l'acte de naissance et qu'ils me l'envoient ? Depuis je lui remercie déjà les ennuis. Vous recevez un salut cordial