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DECOLOGNY x BERTOUD à CERCIER

Posté : 15 août 2010, 16:58
par pyduval
Bonjour à tous,
Nous reprenons du service. J'ai eu un coup au coeur à suivre le débat à propos de FOURNIER et me suis demandée si j'avais bien introduit dans mon généanet, les remarques de Phyl. Mais ouf, il semble que je n'étais pas visée...
Je cherche des infos sur Humbert DECOLIGNY ou DECOLOGNY et sa femme François BERTOUD nés tous les deux à Cercier
Parents (◦Louis DECOLIGNY et ◦Jeanne MONACHON)
•Mariés le 4 novembre 1816, Cercier, avec Françoise BERTOUD (Parents : Pierre Blaise BERTOUD & Catherine PARIS) , dont
■Antoinette DECOLOGNY 1822-1882 (notre ancêtre)
Si l'on pouvait avoir la profession de tous ces gens là
Merci d'avance
D. et PY.

Re: DECOLOGNY x BERTOUD à CERCIER

Posté : 15 août 2010, 17:37
par BALLEYDIER
Bonjour Do et Py:-)
j'espère que le "break" a été profitable,
pour mon "coup de g..." vous n'étiez pas visés et aucune MARMOTTE ne l'était, et pis si j'ai plus le droit de "faire mon phyl" où va t on?? PTDR
trèsve de palisanterie,les curés à certaines périodes et dans certaines paroisses étaient assez "chiches" sur leurs écritures et indiquaient le strict minimum,ce qui semble être le cas de CERCIER,peut être aurons nous plus de chances avec l'état civil:-)

je ne vous oublie pas pour les actes de CHOISY, mais j'ai une passe un peu "trouble" en ce moment(perte de mon père le 10 juillet et perte d'une cousine germaine de 55 ans cette semaine),je me remts sur CHOISY qd j'ai terminé ce que j'ai entrepris et que j'ai les idées un peu plus claires:-)

bises,pognes et amitiés
Phyl

Re: DECOLOGNY x BERTOUD à CERCIER

Posté : 15 août 2010, 20:45
par pyduval
Bonsoir Phyl,
Toutes nos condoléances. Nous vivons actuellement ces temps dangereux et ça freine vraiment, c'est sûr.
Prends le temps
Bises
D. et PY
"La mort n'est rien
La mort n'est rien,
je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
(...)
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin."
Canon Henry Scott-Holland (1847-1918), traduction d'un extrait de "The King of Terrors", sermon sur la mort 1910