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Vendredi 16 novembre 2012

Posté : 23 nov. 2012, 13:14
par marie
Bonjour à tous,
La Gazette est de retour avec le début de la publication d'une superbe chronique familiale qui parcourt le temps sur presque quatre siècles. Danièle Treuil nous explique comment et pourquoi elle s'est embarquée dans cette aventure généalogique.

Elle était attendue ! La troisième édition de Contexte, revue et enrichie, est désormais disponible.

Le numéro 2 de la collection Théma est disponible : La valeur des biens, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres. Plus d'info ici.


À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : La valeur des biens, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres (disponible).

Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître fin décembre 2012).

- Abonnez-vous dès maintenant pour bénéficier d’un tarif préférentiel.

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot
Au sommaire de cette semaine:

C’est arrivé en ce temps-là
Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Il était une fois (épisode 1) par Danièle Treuil

Cette histoire est tirée d’une chronique familiale qui parcourt le temps sur presque quatre siècles… un voyage au long cours, présentée ici par petites étapes. En guise de préambule, je raconte dans ce premier volet comment et dans quelles circonstances je me suis trouvée, de façon inattendue, en possession de nombreux documents familiaux… Comment et pourquoi je me suis embarquée dans cette aventure généalogique. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Mort pour la France... où le point de départ d’une escapade dans le passé ! par Olivier Sabot

D’après ce que je peux savoir, il n’y a pas une famille en France qui n’ait eu au moins un mort pendant la la Première Guerre mondiale, la fameuse Grande Guerre. Lors de mes recherches, je suis tombé sur un document dont je connaissais l’existence par l’histoire familiale, mais qu’internet a ressuscité : le document des Armées attestant que l’arrière-grand-père de mon épouse, François Dalbert Chauvit était mort pour la France le 29 octobre 1915... Cela a été pour nous le point de départ d’une petite escapade dans le passé ! Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

La fête se prépare... où et à quelle occasion ? par Michel Guironnet et Christian Vincent

La fête se prépare : une ville, un grand boulevard, les rails d’un tramway… des mâts avec des drapeaux… une publicité pour l’Amer Picon sur le kiosque... une nacelle de ballon hissée sur un monument, une colonne en construction avec des canons exposés comme des trophées : un mystère à éclaircir ! Lire la suite...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui aime le plaisir, un gourmand.

Les mots du passé : Il s’agit d’une espèce de marteau à deux pannes utilisé par les serruriers et les couteliers.

Serez-vous pendu ?

La vie des livres
Contexte
Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique.
Tirage limité ! Commandez dès maintenant votre exemplaire !

Les livres des auteurs du site

Ils ont en commun d’être auteurs de ce magazine-web et de partager la même passion de l’Histoire et de l’écriture. Pour vous faire découvrir leurs centres d’intérêts et leurs travaux, voici, rassemblés sur une page, les résumés de leur dernière publication.
Souscription Le roman vrai de Claude Arnold (par Madeleine Arnold-Tétard)

Claude Arnold est né à Gerbéviller (Duché de Lorraine), le 31 mai 1623 en pleine guerre de Trente Ans (1618-1648). Il perd sa mère en 1632 et se retrouve bientôt avec une marâtre qui ne lui plaît guère. À peine âgé de douze années, pour échapper à cette emprise et chercher du travail, il prend la route et se retrouve à Munster, en Alsace, où il est recueilli par les moines de l’abbaye catholique de Munster… Ainsi débute la vie trépidante d’un jeune Lorrain devenu Alsacien, en ayant appris le dialecte pour se fondre dans la population.

À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : Coût de la vie, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres selon les époques et le rang social (disponible).

Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître en décembre 2012).

- Abonnez-vous dès maintenant pour bénéficier d’un tarif préférentiel.


Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis

- Foncine le Bas, le passé simple d'un village jurassien, par Jean-Michel Guyon

- L’enfant trouvé dans un panier, par Bruno Picquet

- Hommes célèbres au fil des rues de Nancy, par Daniel Da-Ponte

- Le Petit Séminaire de Bouvigny-Boyeffles, par Elisabeth Dubois

Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt
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Vendredi 23 novembre 2012

Posté : 23 nov. 2012, 13:17
par marie
Bonjour à tous,
Suite de la publication de la chronique familiale qui parcourt le temps sur presque quatre siècles. Dans ce second épisode, Danièle Treuil nous dévoile l'histoire d'un patronyme. Superbe !

Elle était attendue ! La troisième édition de Contexte, revue et enrichie, est désormais disponible.

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Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître fin décembre 2012).

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Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine :

C’est arrivé en ce temps-là
Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : L’histoire d’un patronyme (épisode 2) par Danièle Treuil

Après avoir évoqué le début de l’aventure que les circonstances m’ont amenée à engager, à la rencontre de mes ancêtres paternels, je poursuis en m’interrogeant sur le pourquoi de leur patronyme. Chacun d’entre nous porte un nom à la naissance. C’est un trésor que nous partageons tous. À travers celui de cette famille, on découvre comment on peut comprendre l’origine et l’évolution de “ce petit morceau d’histoire, porté chaque jour et qui ne tient qu’en quelques lettres” (Marguerite Yourcenar – archives du Nord). Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

La section de projecteur : Aux Clairs Chênes - À Fromeréville V - 16e épisode par Michel Guironnet et Dominique Schutz

Les 1er et 2e Groupes de l’Artillerie Divisionnaire 69e DI bivouaquent aux Clairs Chênes. Les hommes de « notre » Section de Projecteurs, étant de service la nuit auprès de ces batteries d’artillerie, peuvent dans la journée « se promener » autour de leur bivouac. C’est l’occasion pour eux de faire quelques photos souvenir. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Autrefois, le marché aux cochons par Michel Carcenac

C’est l’hiver. Sur le sol, la “ mairie ” a fait répandre de la paille pour recevoir les excréments des cochons. Après le marché, elle sera ramassée et stockée pour faire du fumier. En 1908, la vente du fumier par adjudication a rapporté 46 francs à la commune de Belvès, et la taxe sur les chiens 58,67 francs sur 31 627,81 francs de recettes. Lire la suite...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne une anguille de mer, remarquable par son agilité... d’où sans doute une caractéristique d’un homme vif, alerte ou insaisissable.


Les mots du passé : Il s’agit d’un jeu d’amourette qui associe la gâtinelle (une femme originaire de la Gâtine poitevine) et son parsonnier, le valet qui sert avec elle dans la même métairie.

Serez-vous pendu ?

La vie des livres
Contexte


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Souscription Le roman vrai de Claude Arnold (par Madeleine Arnold-Tétard)

Claude Arnold est né à Gerbéviller (Duché de Lorraine), le 31 mai 1623 en pleine guerre de Trente Ans (1618-1648). Il perd sa mère en 1632 et se retrouve bientôt avec une marâtre qui ne lui plaît guère. À peine âgé de douze années, pour échapper à cette emprise et chercher du travail, il prend la route et se retrouve à Munster, en Alsace, où il est recueilli par les moines de l’abbaye catholique de Munster… Ainsi débute la vie trépidante d’un jeune Lorrain devenu Alsacien, en ayant appris le dialecte pour se fondre dans la population.

À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : Coût de la vie, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres selon les époques et le rang social (disponible).

Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître en décembre 2012).

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- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis

- Foncine le Bas, le passé simple d'un village jurassien, par Jean-Michel Guyon

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Vendredi 30 novembre 2012

Posté : 30 nov. 2012, 18:18
par marie
Bonjour à tous,
Voici le troisième épisode de la chronique familiale qui parcourt le temps sur presque quatre siècles. Dans cet article, Danièle Treuil nous explique comment organiser nos informations et nos documents et comment transmettre nos découvertes à tous ceux qui sont intéressés.

Le Théma 3 consacré aux Signatures de nos ancêtres sera à l'imprimerie la semaine prochaine. Il sera donc disponible vers le 21 décembre.

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Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

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Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître fin décembre 2012).

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Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Les chemins de la narration. Un voyage en boucle (épisode 3) par Danièle Treuil

En matière de recherche généalogique, on est très vite confronté à une multitude d’informations, voire comme ici à de nombreux documents. Comment ne pas être noyé, comment transmettre ses découvertes à tous ceux qui sont intéressés. J’explique le chemin que j’ai choisi, un chemin parfois buissonnier.


La petite histoire de nos ancêtres

Le mystère du Nieuport n° 950 : A Froméreville VI - 17e épisode par Michel Guironnet et Dominique Schutz

Dans l’album laissé par Charles Bourcet, une photo m’intrigue tout particulièrement. On y voit un avion tombé au sol. Une rapide recherche me permet d’identifier le type d’appareil : c’est un Nieuport. Je lance alors une “bouteille à la mer” afin d’idenfier l’escadrille et le pilote de cet avion. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

La vertu et le prix Montyon en 1838 par Pierrick Chuto

La lecture des discours déclamés à l’Académie française à l’occasion de la remise annuelle du prix Montyon nous réserve bien des surprises. Ainsi, voici l’histoire édifiante de Louis Brune, commissionnaire sur le port de Rouen. D’après les courriers adressés à l’Académie par les notables de sa ville, quarante-deux personnes lui doivent la vie. Lire la suite...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille est un sobriquet qui désigne une « tête de coq ».


Les mots du passé : Il s’agit d’un bâton long d’un peu moins d’un mètre, avec lequel les veneurs se garantissent du choc des branches, quand ils entrent sous bois.

Serez-vous pendu ?

La vie des livres
Contexte


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Les livres des auteurs du site

Ils ont en commun d’être auteurs de ce magazine-web et de partager la même passion de l’Histoire et de l’écriture. Pour vous faire découvrir leurs centres d’intérêts et leurs travaux, voici, rassemblés sur une page, les résumés de leur dernière publication.

Souscription Le roman vrai de Claude Arnold (par Madeleine Arnold-Tétard)

Claude Arnold est né à Gerbéviller (Duché de Lorraine), le 31 mai 1623 en pleine guerre de Trente Ans (1618-1648). Il perd sa mère en 1632 et se retrouve bientôt avec une marâtre qui ne lui plaît guère. À peine âgé de douze années, pour échapper à cette emprise et chercher du travail, il prend la route et se retrouve à Munster, en Alsace, où il est recueilli par les moines de l’abbaye catholique de Munster… Ainsi débute la vie trépidante d’un jeune Lorrain devenu Alsacien, en ayant appris le dialecte pour se fondre dans la population.


À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : Coût de la vie, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres selon les époques et le rang social (disponible).

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Vendredi 7 décembre 2012

Posté : 10 déc. 2012, 09:49
par marie
Bonjour à tous,
Voici le quatrième épisode de la chronique familiale qui parcourt le temps sur presque quatre siècles. Avec ce nouvel article, Danièle Treuil commence le voyage à rebours dans la lignée des Pras du Forez.


Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine


C’est arrivé en ce temps-là
Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : 1re Partie - Le Temps des ruptures (épisode 4) par Danièle Treuil

À partir de cet épisode, commence le voyage à rebours dans la lignée des Pras du Forez. Deux frères Claude, l’aîné et le plus jeune de dix-huit ans son cadet, nés d’une famille nombreuse au pied des Monts de la Madeleine, quittent la terre de leurs ancêtres à la mi-temps du 19è siècle. Ils continuent d’une certaine façon le chemin engagé par leur père Antoine, lequel trente ans plus tôt avait abandonné la ferme familiale, pour créer son propre domaine… une première rupture. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Les livres sont parfois à double lecture... par Yves Reynaud

Les livres sont parfois à double lecture et tout ce que contiennent ceux-ci n’est pas livré au premier regard. Ainsi l’enveloppe même d’un ouvrage peut parfois révéler un petit trésor qui peut dépasser en valeur historique ce qui est écrit dans ce livre. C’est ce que nous allons voir plus tard avec une découverte peu commune qui se passa chez un libraire ésotériste marseillais un certain 21 décembre 2009.


La petite histoire de nos ancêtres

24 avril 1683 : un mariage historique au château par Patrick Martinez

Au mois d’avril 1683, le château de Saint-Jean-de-Védas est le théâtre d’un mariage de la haute société protestante française : En ce début de 1683, Louis XIV ordonne à son Lieutenant Général de la Marine, Abraham Duquesne, d’armer la flotte de Toulon pour aller bombarder le port d’Alger, où se réfugient les pirates barbaresques qui menacent constamment le commerce maritime de la France en Méditerranée.

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille est un sobriquet qui désigne un orgueilleux".


Les mots du passé : Il s’agit d’un droit, une redevance annuelle, qui se levait sur les poules.

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Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : Coût de la vie, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres selon les époques et le rang social (disponible).

Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître en décembre 2012).

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Vendredi 14 décembre 2012

Posté : 21 déc. 2012, 16:22
par marie
Bonjour à tous,
"La généalogie est comme un engrenage" écrit Olivier Sabot. "Si on y met le doigt, on risque d’y passer le bras !" Je suis sûr que vous partagez l'idée. D'ailleurs, lorsque l'on commence une généalogie, on sait tous qu'une vie ne sera pas suffisante pour en venir à bout... mais il faut bien laisser du grain à moudre aux générations futures.

Le Théma 3 consacré aux Signatures de nos ancêtres est à l'imprimerie depuis le 5 décembre. Il sera donc disponible vers le 21 décembre. Vous pouvez dès maintenant réserver votre exemplaire depuis le site des éditions Thisa.

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Merci de faire suivre cette lettre à vos relations


Au sommaire de cette semaine

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Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.


Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : 1re Partie - Le Temps des ruptures : L‘aventure Lyonnaise(épisode 5) par Danièle Treuil

L’histoire des Claude, issus d’une lignée Pras du Forez, va se poursuivre pendant plusieurs épisodes. Ici, c’est leur arrivée à Lyon autour de 1845 qui nous intéresse. J’explique leurs tâtonnements pour parvenir à trouver leur voie. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

La généalogie, on sait quand ça commence, mais jamais quand ça finit...par Olivier Sabot

La généalogie est comme un engrenage. Si on y met le doigt, on risque d’y passer le bras ! C’est ce qui m’est arrivé dernièrement. Ainsi quand on démarre une recherche en généalogie, on peut vite dériver sur autre chose et aboutir à un résultat encore plus intéressant que ce à quoi on s’attendait ! Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Insolite ! Quelques remèdes anciens contre la rage et la peste par Marie-Louise Tauzer et Thierry Sabot

En 1754, le curé de Seyne/Saint-Pons (04) recopie dans le registre paroissial des remèdes contre la rage qu’il a trouvé dans la lecture d’une célèbre gazette du XVIIIe siècle : le Courrier d’Avignon. Lire la suite...


Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui a été frappé du mal ardent ou mal de saint Antoine.


Les mots du passé : Il s’agit d’une personne qui fait le commerce des abeilles et du miel.

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Vendredi 21 décembre 2012

Posté : 21 déc. 2012, 16:25
par marie
Bonjour à tous,
Voici la dernière Gazette de l'année 2012. Je vous souhaite à tous de passer en famille de belles fêtes de fin d'année... et je vous dis à l'année prochaine pour de nouvelles aventures généalogiques.

Le Théma numéro 3, consacré aux Signatures de nos ancêtres, est disponible. Vous pouvez dès maintenant commander votre exemplaire depuis le site des éditions Thisa.
Pour les abonnés : Tous les exemplaires commandés seront expédiés par La Poste le mercredi 26 décembre.

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot


Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Début XVIe siècle : apparition du confessionnal dans les églises (un élément d’intimité).

Au début du XVIe siècle, l’Église dispose d’un nombre très important de prêtres (souvent plus de 10 par paroisse). Peu ou mal préparés à leurs fonctions, parfois ignorants des articles de la foi, leurs mœurs et leurs comportements laissent souvent à désirer et les exposent au mépris ou aux critiques des fidèles ou des autorités : Lucien Bély nous dit que « ces prêtres nombreux étaient souvent oisifs et faméliques, parfois ivrognes ou voleurs. (...) Dans les paroisses, les curés titulaires (recteurs, prieurs) étaient souvent absents et remplacés par des vicaires, appelés aussi curés. (...) Certains vivaient en concubinage et avaient des enfants, malgré l’obligation du célibat ».

La vitalité de la pratique religieuse des fidèles s’exprime à travers la multiplication des dévotions, des processions, des pèlerinages et des rituels, l’accomplissement des pratiques obligatoires, l’attachement à l’élévation, la profusion des lieux de culte et de prière, et le développement de la piété personnelle (prière intérieure, oraisons, méditations, lectures pieuses…)… mais cette spiritualité reste fortement marquée par l’obsession de la peur : celle de la mort, de l’enfer, du péché et du Jugement.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

La paroisse de Plœmeur en 1757 vue par la capitation par Jean-Yves Le Lan

Aux Archives départementales du Morbihan, il existe les registres de capitation établis pour la paroisse de Plœmeur de l’évêché de Vannes. Ces documents, d’un grand intérêt, donnent une « photographie » de la paroisse de Plœmeur à différentes dates. Cet article analyse le contenu du registre de capitation de l’année 1757. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Les crèches de Noël : mœurs et coutumes marseillaises par Janine Lopez-Beaume

S’il est une fête attendue avec impatience et célébrée avec bonheur, une fête populaire, entre toutes, à Marseille, où les fêtes sont si populaires : c’est Noël ! Noël, la fête du riche et du pauvre, du grand et du petit, du travailleur de la ville et du travailleur de la campagne, de l’enfant et du vieillard... la bonne fête pour tous... Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

Le château de Maison Blanche et son histoire par Micheline Pasquet

D’après les écrits de l’Abbé Lebeuf, en 1523, le lieu-dit de Maison- Blanche est décrit par les Bénédictins de Saint-Maur, sous l’apparence d’une ferme. Elle appartient à monsieur Regnault le Coq. Elle est située à l’orée sud de la forêt de Bondy, sur une plaine sillonnée de veines d’eau et boisée de feuillus (chênes, hêtres, bouleaux). Lire la suite...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui plisse le visage en signe de mécontentement.


Les mots du passé : Il s’agissait d’un cens ou loyer qu’on payait pour habiter une maison.

Serez-vous pendu ?

La vie des livres
Contexte


Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique.
Tirage limité ! Commandez dès maintenant votre exemplaire !

Les livres des auteurs du site

Ils ont en commun d’être auteurs de ce magazine-web et de partager la même passion de l’Histoire et de l’écriture. Pour vous faire découvrir leurs centres d’intérêts et leurs travaux, voici, rassemblés sur une page, les résumés de leur dernière publication.

À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 1 : Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux (disponible).

Numéro 2 : La valeur des biens, niveau de vie et de fortune de nos ancêtres (disponible).

Numéro 3 : Les signatures de nos ancêtres, ou l’apprentissage d’un geste (à paraître en décembre 2012).

- Abonnez-vous dès maintenant pour bénéficier d’un tarif préférentiel.


Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis

- Foncine le Bas, le passé simple d'un village jurassien, par Jean-Michel Guyon

- L’enfant trouvé dans un panier, par Bruno Picquet

- Hommes célèbres au fil des rues de Nancy, par Daniel Da-Ponte

- Le Petit Séminaire de Bouvigny-Boyeffles, par Elisabeth Dubois


Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt

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Vendredi 18 janvier 2013

Posté : 18 janv. 2013, 18:15
par marie
Bonjour à tous,
Je vous souhaite à tous une belle et heureuse année 2013.
Cette gazette est en retard d'une semaine à cause d'une grosse panne de serveur chez mon hébergeur.

Le Théma numéro 3, consacré aux Signatures de nos ancêtres, est disponible. Vous pouvez dès maintenant commander votre exemplaire depuis le site des éditions Thisa.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est également disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).

Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Pour découvrir la collection Théma, il vous suffit de cliquer sur l'image suivante :


Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Merci de faire suivre cette lettre à vos relations


Au sommaire de cette semaine


C’est arrivé en ce temps-là
Le licenciement de l’armée impériale ou le destin des demi-solde.

En août 1815, l’armée impériale est licenciée (« les retours à la vie civile concernent près de 1 million de personnes, soit 60 % des conscrits et 3,7 % de la population de 1815 »). Les soldats retournent dans leur foyer et perçoivent une solde. Selon Natalie Petiteau, la retraite des « vieux débris de la Grande Armée » « est fixée à un montant dérisoire : avec trente ans d’ancienneté, le simple soldat reçoit 150 F par an, 300 F s’il a atteint les cinquante ans de service effectif, ce qui est à peine équivalent au salaire d’un ouvrier employé à la journée » (Pour le calcul de la retraite, les années de campagnes comptent double et les mutilés ont automatiquement droit à une solde). Mais une telle disposition laisse de côté tous ceux qui n’ont pas achevé leurs trente années de services. Aussi, beaucoup se retrouvent sans aucune pension (Notamment tous ceux qui avaient repris les armes durant l’épisode des Cent-Jours, du retour de Napoléon de l’île d’Elbe, le 1er mars 1815, à sa seconde abdication, le 22 juin 1815) et ils sont nombreux à sombrer dans la misère !

Sources :
- D’après Contexte , fiche 1815-1819.
- Natalie Petiteau, La légende des vieux soldats, in Les Collection de L’Histoire n°20, juillet-septembre 2003, p.80).
- Natalie Petiteau, Lendemains d’Empire, les soldats de Napoléon dans la France du XIXe siècle, Paris, La Boutique de l’Histoire, 2003.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Le Temps des ruptures : Les Claude prennent parti… (épisode 6) par Danièle Treuil

À l’arrivée des deux Claude à Lyon, la période est mouvementée. Louis Napoléon Bonaparte est en train de prendre le pouvoir. Mon arrière-grand-père, Claude Jeune, comme son frère aîné, va prendre parti. Les deux frères vont aussi s’investir dans une affaire qui occupera cinq ans de leur vie et qui fera beaucoup de bruit en son temps. Nous l’apprenons par un gros dossier transmis par la famille. L’engagement des Claude à cette époque couvre trois épisodes successifs. Lire la suite...


La petite histoire de nos ancêtres

De la petite à la grande Histoire : Un 1er avril « étant à la mer », un Rochelois meurt sur le vaisseau Le Nestor par Michel Guironnet

Le 25 mars 1831, dans les registres des Roches de Condrieu, petite commune de l’Isère au bord du Rhône, à quelques kilomètres au sud de Vienne, est déclaré le décès, à 28 ans, de Reine Plantier, épouse du marinier Jean Chol. Le 10 mai suivant est enregistré celui de Marie Grésillon, 23 ans, fille d’un « Patron sur le Rhône ». Entre les deux se glisse, le 29 avril 1831, la transcription d’un acte daté du 1er avril de l’année précédente… Cet acte nous fait entrer, par la petite porte, dans la Grande Histoire !

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourrait m’aider à identifier ce château ? par Jean-Jacques Marechal

Depuis pas mal de temps dans le cadre de mes recherches généalogiques, je cherche à identifier le château figurant sur la photo ci-dessous, prise début 1944. Ce château, comportait des terrains de volley et de basket, il était utilisé à cette époque pour y former des groupes de jeunes femmes encadrées par des policiers portant l’insigne des G.M.R., Groupe Mobile de Réserve.
Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne sans doute une maison de plaisance coûteuse.


Les mots du passé : Ce mot désigne des guenilles, de vieux vêtements.

Serez-vous pendu ?

La vie des livres
Contexte


Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique.
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À raison de 2 livres par an, la collection Théma raconte la petite histoire de nos ancêtres.

Numéro 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).

Numéro 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

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Vient de paraître !

Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.


Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt
thierry-sabot@orange.fr
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Vendredi 25 janvier 2013

Posté : 29 janv. 2013, 13:47
par marie
Bonjour à tous,
Avec la suite de sa chronique familiale, Danièle Treuil nous entraîne dans les mystères de “l’affaire Galerne”, tandis qu'Alain Morinais nous invite à suivre Céline dans sa visite de l’exposition universelle de Paris en 1889.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).


Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Le licenciement de l’armée impériale ou le destin des demi-solde.

En août 1815, l’armée impériale est licenciée (« les retours à la vie civile concernent près de 1 million de personnes, soit 60 % des conscrits et 3,7 % de la population de 1815 »). Les soldats retournent dans leur foyer et perçoivent une solde. Selon Natalie Petiteau, la retraite des « vieux débris de la Grande Armée » « est fixée à un montant dérisoire : avec trente ans d’ancienneté, le simple soldat reçoit 150 F par an, 300 F s’il a atteint les cinquante ans de service effectif, ce qui est à peine équivalent au salaire d’un ouvrier employé à la journée » (Pour le calcul de la retraite, les années de campagnes comptent double et les mutilés ont automatiquement droit à une solde). Mais une telle disposition laisse de côté tous ceux qui n’ont pas achevé leurs trente années de services. Aussi, beaucoup se retrouvent sans aucune pension (Notamment tous ceux qui avaient repris les armes durant l’épisode des Cent-Jours, du retour de Napoléon de l’île d’Elbe, le 1er mars 1815, à sa seconde abdication, le 22 juin 1815) et ils sont nombreux à sombrer dans la misère !

Sources :
- D’après Contexte , fiche 1815-1819.
- Natalie Petiteau, La légende des vieux soldats, in Les Collection de L’Histoire n°20, juillet-septembre 2003, p.80).
- Natalie Petiteau, Lendemains d’Empire, les soldats de Napoléon dans la France du XIXe siècle, Paris, La Boutique de l’Histoire, 2003.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Le Temps des ruptures : Pour les Claude, aucun doute, il faut sauver le commissaire Galerne (épisode 7) par Danièle Treuil

Dans l’épisode précédent, j’ai montré comment les Claude se trouvent mêlés aux “affaires” de leur temps, particulièrement à propos de ce que j’ai appelé “l’affaire Galerne”. Que vont-ils faire pour soutenir ce prisonnier très particulier ? Les nombreuses correspondances dont j’ai hérité vont nous éclairer, mais aussi des recherches dans diverses archives à Lyon, Marseille et Aix.

La petite histoire de nos ancêtres

Promenade à l’exposition universelle de Paris en 1889 - 1re partie : L’esplanade des Invalides par Alain Morinais

Ce récit est un extrait du roman de Céline « Au prix du silence ». L’histoire de la vie d’une femme dont le silence laissera croire un siècle durant qu’elle était sans histoires. Cette fiction-documentaire d’Alain MORINAIS, dans l’esprit des « Laboureurs d’espoirs », met en scène des personnages nous faisant revivre le siècle de Céline, héroïne malgré elle d’une histoire pour l’Histoire de la condition féminine.

La petite histoire de nos ancêtres

Quel est cet objet trouvé dans une charpente ? par Serge Libérioux

J’ai trouvé cet objet, sans doute un outil, dans la charpente d’une vieille grange située près de Brive-la-Gaillarde. Qui pourrait me dire le nom de cet objet et sa signification ? S’agit-il d’un outil pour réaliser des tracés de charpente ou tout simplement d’une francisque ?

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui préside aux mariages.


Les mots du passé : Ce mot désigne un marché, une halle où se trouvait le poids public.

Serez-vous pendu ?

Vient de paraître

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- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.

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Vendredi 1 février 2013

Posté : 02 févr. 2013, 20:20
par marie
Face au Souhait de Privatisation de Notre Patrimoine Commun par le Ministère de la Culture, une pétition est en ligne pour demander qu’un accès public gratuit sur Gallica soit instauré d’emblée pour les œuvres tombées dans le domaine public.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Pour découvrir la collection Théma, il vous suffit de cliquer sur l'image suivante :


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Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Le licenciement de l’armée impériale ou le destin des demi-solde.

En août 1815, l’armée impériale est licenciée (« les retours à la vie civile concernent près de 1 million de personnes, soit 60 % des conscrits et 3,7 % de la population de 1815 »). Les soldats retournent dans leur foyer et perçoivent une solde. Selon Natalie Petiteau, la retraite des « vieux débris de la Grande Armée » « est fixée à un montant dérisoire : avec trente ans d’ancienneté, le simple soldat reçoit 150 F par an, 300 F s’il a atteint les cinquante ans de service effectif, ce qui est à peine équivalent au salaire d’un ouvrier employé à la journée » (Pour le calcul de la retraite, les années de campagnes comptent double et les mutilés ont automatiquement droit à une solde). Mais une telle disposition laisse de côté tous ceux qui n’ont pas achevé leurs trente années de services. Aussi, beaucoup se retrouvent sans aucune pension (Notamment tous ceux qui avaient repris les armes durant l’épisode des Cent-Jours, du retour de Napoléon de l’île d’Elbe, le 1er mars 1815, à sa seconde abdication, le 22 juin 1815) et ils sont nombreux à sombrer dans la misère !

Sources :
- D’après Contexte , fiche 1815-1819.
- Natalie Petiteau, La légende des vieux soldats, in Les Collection de L’Histoire n°20, juillet-septembre 2003, p.80).
- Natalie Petiteau, Lendemains d’Empire, les soldats de Napoléon dans la France du XIXe siècle, Paris, La Boutique de l’Histoire, 2003.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Sur la trace d’un disparu... (épisode 8) par Danièle Treuil

L’affaire Galerne évoquée dans les deux épisodes précédents se termine. Galerne a disparu de la vie des Claude. Quel est l’homme derrière le commissaire de police déchu ? Qu’est-il devenu ? C’est l’objet de toute une enquête, qui montre combien les archives peuvent être d’un grand secours.


La petite histoire de nos ancêtres

Un loyal serviteur des rois de la Restauration : le comte de Peyronnet (première partie) par Christian Barbezieux

Pourquoi le comte Pierre-Denis de Peyronnet reste oublié par les historiens de la Restauration ? Il est pourtant un de ces ministres qui déclencha la révolution des Trois Glorieuses en 1830.

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourrait identifier cet hôpital militaire ? par Pierre Berge

Je n’arrive pas à trouver le lieu de cet hôpital militaire. Cette photo a été prise au printemps 1915. Sur le livret militaire du récipiendaire, il est indiqué avoir fait un long séjour à l’hôpital de Verdun... mais il paraît qu’il a aussi séjourné au Val de Grasse. Qui pourrait m’aider à identifier cet hôpital à partir des photos ci-dessus.
Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille de l’Est de la France désigne une personne toujours heureuse, favorisée par la chance. e nom de famille désigne celui qui préside aux mariages.


Les mots du passé : Ce mot provençal désigne les dépendants qui appartiennent de corps à un maître.

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Vendredi 8 février 2013

Posté : 09 févr. 2013, 17:28
par marie
Bonjour à tous,
Pour la préparation de mon Théma 4 sur les familles et les ménages de nos ancêtres, je cherche des photos de familles (de préférence des photos du groupe familial) ou de fratries. Merci par avance pour vos propositions.

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Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

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Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Une paix durable et la tolérance religieuse.

Le 13 avril 1598, avec l’édit de Nantes, Henri IV accorde aux protestants la liberté totale de conscience en tous lieux, la liberté de culte dans une ville par bailliage et dans les faubourgs d’une seconde localité ainsi qu’au domicile des seigneurs hauts justiciers (mais pas à Paris, à la cour et aux armées). Les protestants obtiennent l’accès à différents offices, aux charges publiques des chambres mi-parties, à des tribunaux composés par moitié de catholiques et de protestants. Ils reçoivent l’autorisation de s’assembler en synodes ou en assemblées politiques et obtiennent environ 150 places de sûreté dotées de garnisons armées. Le Trésor royal prend en charge les frais du culte, le salaire des ministres et des professeurs de collège, les frais d’entretien des collèges, des Académies religionnaires et des garnisons. Une justice spécifique apte à juger les procès où un huguenot est impliqué leur est accordée. Par contre, les cimetières catholiques restent interdits aux protestants décédés. Enfin, deux députés généraux représentent en permanence la R.P.R auprès du Conseil. Pour fêter la fin du conflit, des Te Deum sont chantés dans les églises des bonnes villes et des feux de joie sont allumés sur les places. En 1598, le recensement des réformés effectué sur ordre du roi indique : 274 000 familles protestantes (dont 2 468 nobles), 1 250 000 âmes (sur 16 à 18 millions de Français), 800 ministres, 400 proposants (étudiants en théologie protestante), 694 églises publiques et 257 églises de fief. Les zones de concentration sont l’Aquitaine, le Val de Loire, la Basse-Normandie, le Dauphiné et le Languedoc.

Sources :
- D’après Contexte fiche 1595-1599.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Le mariage des Claude, un tournant décisif (épisode 9) par Danièle Treuil

Après leur long temps de célibat, qui correspond aux premières années vécues à Lyon, les Claude s’enracinent dans la grande cité avec leur mariage, un tournant décisif dans leur vie. Pour l’Aîné, j’avais tout à découvrir. Pour le cadet, mon arrière-grand-père, la tradition orale se trompait quelquefois…

La petite histoire de nos ancêtres

Promenade à l’exposition universelle de Paris en 1889 : L’esplanade du Champ de Mars - 2e partie par Alain Morinais

Ce récit est un extrait du roman de Céline « Au prix du silence ». L’histoire de la vie d’une femme dont le silence laissera croire un siècle durant qu’elle était sans histoires. Cette fiction-documentaire d’Alain MORINAIS, dans l’esprit des « Laboureurs d’espoirs », met en scène des personnages nous faisant revivre le siècle de Céline, héroïne malgré elle d’une histoire pour l’Histoire de la condition féminine. Céline et Orazio découvrent l’exposition universelle de Paris sur l’esplanade du Champ de Mars en 1889...


La petite histoire de nos ancêtres

L’insolite cause de décès d’un ancêtre ou comment « mourir de nostalgie »... par Olivier Sabot

Il y a des notions qui évoluent avec le temps. Souvent d’ailleurs, les années rendent les choses plus douces et plus anodines. C’est le cas de la nostalgie. De nos jours, il s’agit d’un état où l’on pense en rêvant à un passé heureux, mais il y a 200 ans, c’était une maladie mortelle...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui fabrique des pâtés, de la pâtisserie.


Les mots du passé : Ce mot désigne un homme de néant qui n’a ni feu ni lieu.

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