Les Marmottes de Savoie

Bonjour à tous,

J'ai le plaisir de vous annoncer la mise à jour du vendredi 15 février de La Gazette Web.
Pour la préparation de mon Théma 4 sur les familles et les ménages de nos ancêtres, je cherche des photos de familles (de préférence des photos du groupe familial) ou de fratries. Merci par avance pour vos propositions.

Le Théma numéro 3, consacré aux Signatures de nos ancêtres, est disponible.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est également disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).

Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).


Elle était attendue ! La troisième édition de Contexte, revue et enrichie, est désormais disponible.

Pour lire en ligne les articles et les jeux de la Gazette-Web :
http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1045" onclick="window.open(this.href);return false;

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Au sommaire de cette semaine :


-|- La petite histoire de nos ancêtres : Une chronique familiale et une aventure généalogique : Claude et Marie – une nombreuse tribu à élever (épisode 10) par Danièle Treuil

-|- La petite histoire de nos ancêtres : Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (5e partie) par André Vessot

-|- La petite histoire de nos ancêtres : Où a été célébré ce mariage ? Qui sont les mariés ? par Christophe Legouix


-|- C’est arrivé en ce temps-là : Une paix durable et la tolérance religieuse.


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- Jouons un peu : Serez-vous pendu ?

-|- Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui qui fabrique des vêtements avec des draps.

-|- Les mots du passé : Ce mot désigne le pain que l’on fait cuire avant la fournée.

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Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À la semaine prochaine...

Thierry Sabot
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Bonjour à tous,
Voici de nouveaux articles inédits à la Une de la Gazette avec notamment une bien curieuse énigme, à la fois historique et généalogique, qui nous emmène jusqu'au Mexique.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).
Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
La vie sociale vers 1725.

Au XVIIIe siècle, la population urbaine est en hausse grâce essentiellement aux mouvements migratoires des ruraux vers les villes ou de citadins en provenance d’une autre ville (il s’agit souvent de jeunes adultes célibataires). Aussi les villes s’agrandissent, débordent vers les faubourgs, et structurent leur espace urbain avec la construction de luxueux hôtels particuliers, la poursuite de l’aménagement de places royales avec au centre une statue équestre du monarque, l’ouverture d’avenues et de rues rectilignes, pavées, plus larges, plus saines, la création de théâtres, l’aménagement de jardins publics et d’allées bordées d’arbres qui longent les remparts et deviennent des lieux de promenades et de rencontre… Au même moment, apparition d’un nouveau type de construction : les « maisons de rapport ». Il s’agit de grands bâtiments édifiés sur un rassemblement de parcelles. La disposition des appartements est désormais horizontale et non plus verticale ce qui implique une spécialisation des pièces : cuisine, salle à manger, salons et chambres séparées par des corridors améliorent le confort et l’intimité familiale. Dans le même temps, la spécialisation sociale des quartiers s’accentue : les plus fortunés vivent dans les logements du centre-ville (les « beaux quartiers » d’hôtels particuliers), souvent au premier étage des immeubles, la misère s’accentuant avec les étages (spécialisation sociale verticale). L’époque voit également le développement des garnis.
En ville, multiplication des espaces publics de réunions (tavernes, maisons de café ou de chocolat).
En 1725 et 1726, publication des États de dénombrement du ressort des gabelles, des dénombrements de la population particulièrement complets pour les provinces de grande gabelle (B.N.)..
Le 19 octobre 1726, une aurore boréale est visible et attestée par de nombreux témoins (cf. les R.P).

Sources :
- D’après Contexte fiche 1725-1729.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Les liens avec le pays de l’enfance (épisode 12) par Danièle Treuil

Nous ne savions rien par tradition orale des liens qui pouvaient subsister entre les Pras de Lyon et la parenté restée en Forez. Or ces liens étaient nombreux. C’est ce que j’ai découvert, notamment en consultant les lettres et les actes que les cousins de la Bussière avaient conservés, mais aussi quelques autres documents trouvés aux archives de Lyon ou à l’état civil...

La petite histoire de nos ancêtres

Une promenade dans les rues de Paris en 1890 - 3e partie par Alain Morinais

Céline rejoint inconsciemment la grande allée sablée qui conduit vers la rue de Rivoli et traverse machinalement l’immense étendue de pelouse d’herbe fine du jardin des Tuileries. Ce havre vert, protégé de l’agitation de la ville, à peine troublé de sa rumeur montante, débouche sur la grand-rue longeant le palais du Louvre et ses longues files de voitures attelées circulant dans les deux sens, décapotées, rivalisant d’élégance avec leurs messieurs bien mis, tous de noir vêtus, chapeautés hauts-de-forme, nouveaux riches empressés en affaires, assis sur leurs banquettes de cuir, les mains posées sur les genoux, raides comme des pantins neufs qu’un marionnettiste débutant hésiterait encore à mettre en mouvements...


La petite histoire de nos ancêtres

Une énigme : Émile, Marie Thérèse, Charlotte, Maximilien, Clémence et quelques autres... par Marie-Thérèse Villain

Quels sont les éléments qui ont incité Madame Paillart à écrire que Don Simoni (prétendu tel) était le fils unique de Maximilien de Habsbourg-Lorraine, Empereur du Mexique et de la Princesse Charlotte de Belgique ? Voici l’énigme, que nous n’aurons ni la prétention, ni la possibilité de résoudre, mais qui, au fur et à mesure de nos recherches, nous entraînera à nous poser bien des interrogations tant le sujet est complexe.

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille breton désigne le bout du village.


Les mots du passé : Ce mot désigne une pièce de monnaie dite vulgairement « gros à la queue ».

Serez-vous pendu ?

Vient de paraître

Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique. Tirage limité ! Commandez dès maintenant votre exemplaire

Les livres des auteurs du site

Ils ont en commun d’être auteurs de ce magazine-web et de partager la même passion de l’Histoire et de l’écriture. Pour vous faire découvrir leurs centres d’intérêts et leurs travaux, voici, rassemblés sur une page, les résumés de leur dernière publication.

Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.

Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt
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Bonjour à tous,
Pour le Théma intitulé Famille et ménage de nos ancêtres, je recherche plus précisément :
- Une photo d'un repas de famille (repas dominical par exemple) ou seraient présents plusieurs générations ou les parents proches (grands-parents, oncles et tantes, cousins, cousines...).
- une photo de famille où les domestiques seraient associés aux membres de la famille. Cette dernière situation n'est pas facile à trouver ! Merci par avance pour votre aide...

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Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot
Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
La vie sociale vers 1725.

Au XVIIIe siècle, la population urbaine est en hausse grâce essentiellement aux mouvements migratoires des ruraux vers les villes ou de citadins en provenance d’une autre ville (il s’agit souvent de jeunes adultes célibataires). Aussi les villes s’agrandissent, débordent vers les faubourgs, et structurent leur espace urbain avec la construction de luxueux hôtels particuliers, la poursuite de l’aménagement de places royales avec au centre une statue équestre du monarque, l’ouverture d’avenues et de rues rectilignes, pavées, plus larges, plus saines, la création de théâtres, l’aménagement de jardins publics et d’allées bordées d’arbres qui longent les remparts et deviennent des lieux de promenades et de rencontre… Au même moment, apparition d’un nouveau type de construction : les « maisons de rapport ». Il s’agit de grands bâtiments édifiés sur un rassemblement de parcelles. La disposition des appartements est désormais horizontale et non plus verticale ce qui implique une spécialisation des pièces : cuisine, salle à manger, salons et chambres séparées par des corridors améliorent le confort et l’intimité familiale. Dans le même temps, la spécialisation sociale des quartiers s’accentue : les plus fortunés vivent dans les logements du centre-ville (les « beaux quartiers » d’hôtels particuliers), souvent au premier étage des immeubles, la misère s’accentuant avec les étages (spécialisation sociale verticale). L’époque voit également le développement des garnis.
En ville, multiplication des espaces publics de réunions (tavernes, maisons de café ou de chocolat).
En 1725 et 1726, publication des États de dénombrement du ressort des gabelles, des dénombrements de la population particulièrement complets pour les provinces de grande gabelle (B.N.)..
Le 19 octobre 1726, une aurore boréale est visible et attestée par de nombreux témoins (cf. les R.P).

Sources :
- D’après Contexte fiche 1725-1729.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Claude et Marie, quarante-trois ans de vie conjugale du Second Empire à la République (épisode 13) par Danièle Treuil

Je ne voulais pas quitter mes arrière-grands-parents, Claude et Marie, sans faire une modeste tentative pour essayer d’évoquer, à partir de la série des faits connus, quelle a pu être leur vie de couple et aussi tenter d’approcher leur personnalité, sachant que l’on ne retrace jamais la richesse et la complexité d’une vie… une sorte de synthèse en quelque sorte des éléments épars présentés jusque là...

La petite histoire de nos ancêtres

Un mariage insolite et compliqué ou quand deux mendiants se marient... par Martine Hautot

En 1784, dans le petit village du Thil-Manneville (Haute-Normandie), à quelques kilomètres de Dieppe, le prêtre vicaire s’apprête à célébrer un mariage plutôt insolite : celui de Pierre Freulet et de Marie Margueritte Frère. Tous deux sont d’un âge respectable, tous deux sont veufs et tous deux sont mendiants, ce qui complique quelque peu la procédure.

La petite histoire de nos ancêtres

Quand et pourquoi cette photo a été prise devant un commissariat parisien ? par Jean Tripogney

Je viens à nouveau vers vous afin d’élucider les interrogations que je me pose à propos de la photo ci-dessous où mon père apparaît : Cette photographie, sans doute prise entre 1930 et 1940, n’est pas celle d’un Conseil municipal parisien. Elle a été prise sur les marches de l’ancien commissariat du 19° Arrondissement de Paris (rue A. Dubois). Mais pourquoi cet endroit ? Pourquoi un tel rassemblement, aussi important ?

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille serait un surnom du moissonneur.


Les mots du passé : Ce mot désigne un jeu ancien (le jeu du pot) que pratiquait Gavroche dans les Misérables.

Serez-vous pendu ?

Vient de paraître

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Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.

Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt
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Bonjour à tous,
Dans cette Gazette, voici un sujet peu ordinaire : il s'agit de déchiffrer un message codé sur une carte postale du début du XXe siècle. Détectives du passé : à vos loupes et crayons !!!

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Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
La vie sociale vers 1725.

Au XVIIIe siècle, la population urbaine est en hausse grâce essentiellement aux mouvements migratoires des ruraux vers les villes ou de citadins en provenance d’une autre ville (il s’agit souvent de jeunes adultes célibataires). Aussi les villes s’agrandissent, débordent vers les faubourgs, et structurent leur espace urbain avec la construction de luxueux hôtels particuliers, la poursuite de l’aménagement de places royales avec au centre une statue équestre du monarque, l’ouverture d’avenues et de rues rectilignes, pavées, plus larges, plus saines, la création de théâtres, l’aménagement de jardins publics et d’allées bordées d’arbres qui longent les remparts et deviennent des lieux de promenades et de rencontre… Au même moment, apparition d’un nouveau type de construction : les « maisons de rapport ». Il s’agit de grands bâtiments édifiés sur un rassemblement de parcelles. La disposition des appartements est désormais horizontale et non plus verticale ce qui implique une spécialisation des pièces : cuisine, salle à manger, salons et chambres séparées par des corridors améliorent le confort et l’intimité familiale. Dans le même temps, la spécialisation sociale des quartiers s’accentue : les plus fortunés vivent dans les logements du centre-ville (les « beaux quartiers » d’hôtels particuliers), souvent au premier étage des immeubles, la misère s’accentuant avec les étages (spécialisation sociale verticale). L’époque voit également le développement des garnis.
En ville, multiplication des espaces publics de réunions (tavernes, maisons de café ou de chocolat).
En 1725 et 1726, publication des États de dénombrement du ressort des gabelles, des dénombrements de la population particulièrement complets pour les provinces de grande gabelle (B.N.)..
Le 19 octobre 1726, une aurore boréale est visible et attestée par de nombreux témoins (cf. les R.P).

Sources :
- D’après Contexte fiche 1725-1729.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : en 1839, un drame terrible ébranle la famille et tout le Forez (épisode 14) par Danièle Treuil

Après avoir introduit l’histoire des Pras en Forez avec l’origine du patronyme et la naissance des Claude, après un long détour par Lyon, je retourne au pays pour ne plus le quitter. Nous sommes quelques années avant leur venue dans la grande cité. Un drame terrible vient de s’abattre sur la famille et toute la région. Aucun des documents transmis ne s’en est fait l’écho, encore moins la tradition familiale. Certes, l’événement ne concerne pas la lignée directe, mais c’est si proche… Aussi je n’hésite pas à prendre un chemin de traverse pour vous parler d’Annette, leur petite-cousine germaine ; elle a presque le même âge que plusieurs de leurs sœurs : vingt ans.
La petite histoire de nos ancêtres

Le premier Paris-Brest-Paris à vélo et... en auto en 1891 par Alain Morinais

En 1784, dans le petit village du Thil-Manneville (Haute-Normandie), à quelques kilomètres de Dieppe, le prêtre vicaire s’apprête à célébrer un mariage plutôt insolite : celui de Pierre Freulet et de Marie Margueritte Frère. Tous deux sont d’un âge respectable, tous deux sont veufs et tous deux sont mendiants, ce qui complique quelque peu la procédure.

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourra déchiffrer le code secret de cette carte postale ? par Catherine Allart

Qui pourra m’aider à déchiffrer le message codé qui est inscrit sur cette carte postale datée du début du XXe siècle ? Raoul écrit de Besançon à Henri JACQUES qui habite à Mohon dans les Ardennes, ils sont amis.


Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille serait le surnom d’un homme avisé, habile, rusé.


Les mots du passé : Ce mot désigne un homme qui a un fort appétit. .

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Bonjour à tous,
Eh non ! le message à décoder de la semaine dernière n'était pas un poisson d'Avril ! Vous êtes plus de 11 000 à vous être intéressés à cette énigme. Cette semaine, retour sur un fait divers qui nous révèle les rouages de la justice au XIXe siècle... du temps où le chemin qui conduit au bagne n'est jamais bien loin...

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Thierry Sabot

C’est arrivé en ce temps-là
La vie sociale vers 1725.

Au XVIIIe siècle, la population urbaine est en hausse grâce essentiellement aux mouvements migratoires des ruraux vers les villes ou de citadins en provenance d’une autre ville (il s’agit souvent de jeunes adultes célibataires). Aussi les villes s’agrandissent, débordent vers les faubourgs, et structurent leur espace urbain avec la construction de luxueux hôtels particuliers, la poursuite de l’aménagement de places royales avec au centre une statue équestre du monarque, l’ouverture d’avenues et de rues rectilignes, pavées, plus larges, plus saines, la création de théâtres, l’aménagement de jardins publics et d’allées bordées d’arbres qui longent les remparts et deviennent des lieux de promenades et de rencontre… Au même moment, apparition d’un nouveau type de construction : les « maisons de rapport ». Il s’agit de grands bâtiments édifiés sur un rassemblement de parcelles. La disposition des appartements est désormais horizontale et non plus verticale ce qui implique une spécialisation des pièces : cuisine, salle à manger, salons et chambres séparées par des corridors améliorent le confort et l’intimité familiale. Dans le même temps, la spécialisation sociale des quartiers s’accentue : les plus fortunés vivent dans les logements du centre-ville (les « beaux quartiers » d’hôtels particuliers), souvent au premier étage des immeubles, la misère s’accentuant avec les étages (spécialisation sociale verticale). L’époque voit également le développement des garnis.
En ville, multiplication des espaces publics de réunions (tavernes, maisons de café ou de chocolat).
En 1725 et 1726, publication des États de dénombrement du ressort des gabelles, des dénombrements de la population particulièrement complets pour les provinces de grande gabelle (B.N.)..
Le 19 octobre 1726, une aurore boréale est visible et attestée par de nombreux témoins (cf. les R.P).

Sources :
- D’après Contexte fiche 1725-1729.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Annette Dufour et son beau-frère entre arrestation, procès d’assises et verdict (épisode 15) par Danièle Treuil

Dans cet épisode, je poursuis l’histoire d’Annette, la petite-cousine germaine des deux Claude, qui vient de commettre un crime irréparable. Ce drame, dont la presse se fait l’écho, secoue toute la région. Quel va être son sort et celui de Claude Bouffaron, le beau-frère désigné comme étant son complice ? Comment fonctionne la justice à cette époque ?


La petite histoire de nos ancêtres

Jean Claude n’a pas pu signer… et pour cause ! par Michel Guironnet

A la fin d’un acte de décès de 1887, à La Batie d’Andaure (Ardèche), il est noté ceci : « Après lecture du présent acte, les témoins ont signé avec nous, excepté Guironnet Jean Claude qui a déclaré ne savoir le faire ». Jusque là, rien que de très banal… Mais Jean Claude est bien en peine de signer puisqu’il est mort !

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourra identifier cette église ? par Armand Preud’homme

Sur cette photo, on voit une église d’un village wallon et on devine la présence d’un monument qui surplombe cette église. Une deuxième photo prise le même jour avec un angle légèrement différent fait apparaître un peu mieux les abords immédiats de cette église.

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille serait le surnom d’un fagotier.


Les mots du passé : Ce mot ancien désigne une châtaigne de bonne qualité.

Serez-vous pendu ?

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Les publications des lecteurs de la Gazette :

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- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, Normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.

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Bonjour à tous,
Si vous voulez m'envoyer des photos d'objets ou de personnes en vue d'une identification, merci de les numériser dans le format jpg le plus grand possible afin de pouvoir isoler des détails. Il est également impératif de joindre un texte rassemblant le maximum de renseignements sur la photo en question.

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Au XVIIIe siècle, la population urbaine est en hausse grâce essentiellement aux mouvements migratoires des ruraux vers les villes ou de citadins en provenance d’une autre ville (il s’agit souvent de jeunes adultes célibataires). Aussi les villes s’agrandissent, débordent vers les faubourgs, et structurent leur espace urbain avec la construction de luxueux hôtels particuliers, la poursuite de l’aménagement de places royales avec au centre une statue équestre du monarque, l’ouverture d’avenues et de rues rectilignes, pavées, plus larges, plus saines, la création de théâtres, l’aménagement de jardins publics et d’allées bordées d’arbres qui longent les remparts et deviennent des lieux de promenades et de rencontre… Au même moment, apparition d’un nouveau type de construction : les « maisons de rapport ». Il s’agit de grands bâtiments édifiés sur un rassemblement de parcelles. La disposition des appartements est désormais horizontale et non plus verticale ce qui implique une spécialisation des pièces : cuisine, salle à manger, salons et chambres séparées par des corridors améliorent le confort et l’intimité familiale. Dans le même temps, la spécialisation sociale des quartiers s’accentue : les plus fortunés vivent dans les logements du centre-ville (les « beaux quartiers » d’hôtels particuliers), souvent au premier étage des immeubles, la misère s’accentuant avec les étages (spécialisation sociale verticale). L’époque voit également le développement des garnis.
En ville, multiplication des espaces publics de réunions (tavernes, maisons de café ou de chocolat).
En 1725 et 1726, publication des États de dénombrement du ressort des gabelles, des dénombrements de la population particulièrement complets pour les provinces de grande gabelle (B.N.)..
Le 19 octobre 1726, une aurore boréale est visible et attestée par de nombreux témoins (cf. les R.P).

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Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Annette et Claude, victimes de leur temps ? Destins tragiques et familles brisées (épisode 16) par Danièle Treuil

Nous avons laissé Annette, alors qu’elle venait d’être condamnée à l’exécution capitale et Claude Bouffaron, au bagne. Deux destins tragiques… Claude est-il revenu un jour au pays ? Quel retentissement cette terrible affaire a-t-elle eu sur la population ? Que sont les familles devenues ?

La petite histoire de nos ancêtres

Un atelier de Haute Couture dans les années 1890 à Paris par Alain Morinais

Les vitrines des salons de vente et d’essayages s’alignent en façade. Elles occupent tout le rez-de-chaussée d’un imposant immeuble de belles pierres taillées, sous les encorbellements alternés de balcons aux dentelles de ferronneries travaillées d’arabesques, de corniches à modillons surmontées d’une fresque sculptée.

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourra identifier ces deux nouveaux outils ? par Marie-France Lestournelle

J’ai trouvé chez mes grands-parents 2 objets qui m’intriguent car je n’en connais pas l’usage. Mon grand-père était directeur d’une usine de briques et ma grand-mère était à la maison. Je ne sais si ces outils pouvaient leur être utiles. Mais les objets semblent neufs et n’ont sans doute pas beaucoup servi.

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille aurait désigné la personne chargée des ventes publiques à l’enchère.

Les mots du passé : Ce mot ancien désignait un ouvrier saisonnier, venu des Pyrénées en Bordelais, pour effectuer les gros travaux de terrassement dans les vignes.

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Bonjour à tous
A l'occasion des vacances d'avril, je vous propose de retrouver quelques anciens articles tirés des archives du magazine-web http://www.histoire-genealogie.com" onclick="window.open(this.href);return false;.

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Thierry Sabot
Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Le contexte économique en 1851

En 1851, les récoltes surabondantes font chuter les prix des denrées, notamment les céréales, la pomme de terre, le vin et le bétail.
Développement des métiers du commerce dans les campagnes : les auberges-épiceries concurrencent sérieusement les colporteurs. Même si les départs définitifs vers les villes s’intensifient (notamment vers les villes industrielles et les grands ports), les campagnes n’ont jamais été aussi peuplées. Le travail rural à domicile est mis à mal par la grande industrie et les droits d’usage divers (pâturage, cueillette) sont vivement contestés par les grands propriétaires. Pour l’essentiel, les ruraux vivent encore en autarcie (autoconsommation industrielle paysanne). Alors que les trois quarts des Français vivent dans les zones rurales, la population active agricole est de 14,3 millions de personnes, dont 54 % d’hommes (on dénombre 900 000 journaliers et 200 000 domestiques).
Vers 1851, dans l’Aisne, un journalier non nourri gagne environ 1,25 F par jour (cf. 1871).
Au recensement de 1851, les ouvriers sont au nombre de 4,4 millions : seulement 25 % travaillent dans des établissements de plus de 10 salariés ; les autres sont employés dans de petites usines rurales.
En février, la loi fixe les règles de l’apprentissage et précise que « le maître d’apprentissage doit se conduire envers l’apprenti en bon père de famille, surveiller sa conduite et ses mœurs, soit dans la maison, soit en dehors ». Il a l’obligation de formation de ses apprentis.
Dans l’industrie textile, adoption progressive du filage mécanique… Singer lance la fabrication en série de ses machines à coudre.

Sources :
- D’après Contexte fiche 1851.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Sommes-nous tous des descendants de Charlemagne ? par Alexandre Dumont-Castells

Vaste problème qui taraude l’esprit de nombreux généalogistes. Cet article, teinté d’humour, n’apporte pas une réponse ferme et définitive, mais tend à montrer, à travers une recherche généalogique vécue et classique, que la filiation en question est possible. Ici, les alliances, aux XVe et XVIIe siècles, de deux ancêtres roturiers, un cultivateur et un poissonnier, avec deux filles de nobles désargentés de province confortent, avec sources à l’appui, cette ascendance impériale.

La petite histoire de nos ancêtres

Les trois fléaux qui affligent la France en 1694 par Thierry Sabot

En 1694, le curé de Rochefort (69) dresse un inventaire des fléaux qui viennent de frapper durement le royaume et nos ancêtres : la grande guerre de la Ligue d’Augsbourg, la famine et la grande mortalité...

La petite histoire de nos ancêtres

Une photographie un peu funeste ? par Sophie Rousset

Était-il courant de réaliser des cartes postales familiales ? En voici un exemple, il s’agit d’une carte postale réalisée à partir de photos de famille. Elle se trouvait rangée parmi le courrier de mes grands-parents. Il pourrait s’agir d’une simple photo de famille, mais on voit qu’un montage a eu lieu et que certaines têtes ont été détourées. Plusieurs éléments retiennent ainsi l’attention...

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille est le sobriquet d’une personne au vêtement trop court.


Les mots du passé : Ce mot ancien désignait les marchands qui achetaient aux vignerons des feuilles de vigne qu’ils revendaient aux halles centrales de Paris.

Serez-vous pendu ?

Vient de paraître

Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique. Tirage limité ! Commandez dès maintenant votre exemplaire !

Les livres des auteurs du site

Ils ont en commun d’être auteurs de ce magazine-web et de partager la même passion de l’Histoire et de l’écriture. Pour vous faire découvrir leurs centres d’intérêts et leurs travaux, voici, rassemblés sur une page, les résumés de leur dernière publication.



Les publications des lecteurs de la Gazette :

- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.

Merci à tous pour votre accueil, votre fidélité et votre participation...

À bientôt
© http://www.histoire-genealogie.com" onclick="window.open(this.href);return false; 2012

Bonjour à tous,
Il était annoncé, voici enfin le sommaire détaillé du Théma 4 : familles et ménages de nos ancêtres, au même pot et au même feu. L'ouvrage sera confié à l'imprimeur d'ici une dizaine de jours. Comme annoncé, il sera donc disponible fin juin :

Sommaire Théma 4 : familles et ménages de nos ancêtres, au même pot et au même feu.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Le contexte économique en 1851

En 1851, les récoltes surabondantes font chuter les prix des denrées, notamment les céréales, la pomme de terre, le vin et le bétail.
Développement des métiers du commerce dans les campagnes : les auberges-épiceries concurrencent sérieusement les colporteurs. Même si les départs définitifs vers les villes s’intensifient (notamment vers les villes industrielles et les grands ports), les campagnes n’ont jamais été aussi peuplées. Le travail rural à domicile est mis à mal par la grande industrie et les droits d’usage divers (pâturage, cueillette) sont vivement contestés par les grands propriétaires. Pour l’essentiel, les ruraux vivent encore en autarcie (autoconsommation industrielle paysanne). Alors que les trois quarts des Français vivent dans les zones rurales, la population active agricole est de 14,3 millions de personnes, dont 54 % d’hommes (on dénombre 900 000 journaliers et 200 000 domestiques).
Vers 1851, dans l’Aisne, un journalier non nourri gagne environ 1,25 F par jour (cf. 1871).
Au recensement de 1851, les ouvriers sont au nombre de 4,4 millions : seulement 25 % travaillent dans des établissements de plus de 10 salariés ; les autres sont employés dans de petites usines rurales.
En février, la loi fixe les règles de l’apprentissage et précise que « le maître d’apprentissage doit se conduire envers l’apprenti en bon père de famille, surveiller sa conduite et ses mœurs, soit dans la maison, soit en dehors ». Il a l’obligation de formation de ses apprentis.
Dans l’industrie textile, adoption progressive du filage mécanique… Singer lance la fabrication en série de ses machines à coudre.

Sources :
- D’après Contexte fiche 1851.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Le parcours du combattant pour échapper au service militaire (suite) : la réforme ou un remplaçant ? (épisode 19) par Danièle Treuil

En même temps qu’Antoine se bat en justice pour sortir son fils aîné du mauvais pas où il s’est égaré, il doit mener un autre combat, combien traumatisant lui aussi. Claude, alors âgé de vingt ans, vient en effet le 16 mai 1829 de « tirer le mauvais numéro », qui l’engage, pour sept ans, à accomplir le service militaire ! En deux épisodes, je vais relater la bataille de tous les instants engagée par Antoine pour les sortir de là. Toute la famille est concernée.

La petite histoire de nos ancêtres

François Eugène Pheulpin, ça vous dit quelque chose ? (suite et fin ?) par Jacques Dupé et Michel Guironnet

L’une des fidèles lectrices de La Gazette nous a communiqué la fiche matricule de cet artilleur de marine. C’est l’occasion de publier cet additif à notre précédent article... Suite et fin ?

La petite histoire de nos ancêtres

Quel était l’usage de cet objet avec une lame en forme de cheval ? par Jean-Louis Kiffer

Cet objet a été trouvé dans un grenier en Alsace. Il s’agit vraisemblablement d’un objet pour couper quelque chose, mais quoi ? D’après quelques recherches sur le net, le sigle gravé sur le manche est un emblème basque en forme de trèfle courbé. Le cheval est en acier un peu acéré.

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désignait un domaine tenu, en indivis, par des frères et sœurs.


Les mots du passé : Ce mot désigne un homme qui a un fort appétit.

Serez-vous pendu ?

Vient de paraître

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- L’Histoire de l’Ecole Martini (1ère partie), par Marius Autran

- Louis Guillaume Fulconis, (1818-1873), statuaire, une vie d'amitié (Provence, Algérie, normandie, Paris), par André Pierre Fulconis.


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À bientôt


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Bonjour à tous,
Je viens de mettre à jour un jeu sous la forme d'un QCM dont le sujet est Nos ancêtres, les archives et l’Histoire... pour jouer, il vous suffit de suivre ce lien : Jouez et testez vos connaissances.

Il était annoncé, voici enfin le sommaire détaillé du Théma 4 : familles et ménages de nos ancêtres, au même pot et au même feu. L'ouvrage est à l'imprimerie depuis quelques jours. Comme annoncé, il sera donc disponible fin juin :

Sommaire Théma 4 : familles et ménages de nos ancêtres, au même pot et au même feu.

L'abonnement 2013 à la collection Théma est disponible :

Théma n° 4 : Familles et ménages de nos ancêtres (à paraître fin juin 2013).
Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

Bonne lecture et merci pour votre fidélité...

Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

C’est arrivé en ce temps-là
Le contexte économique en 1851

En 1851, les récoltes surabondantes font chuter les prix des denrées, notamment les céréales, la pomme de terre, le vin et le bétail.
Développement des métiers du commerce dans les campagnes : les auberges-épiceries concurrencent sérieusement les colporteurs. Même si les départs définitifs vers les villes s’intensifient (notamment vers les villes industrielles et les grands ports), les campagnes n’ont jamais été aussi peuplées. Le travail rural à domicile est mis à mal par la grande industrie et les droits d’usage divers (pâturage, cueillette) sont vivement contestés par les grands propriétaires. Pour l’essentiel, les ruraux vivent encore en autarcie (autoconsommation industrielle paysanne). Alors que les trois quarts des Français vivent dans les zones rurales, la population active agricole est de 14,3 millions de personnes, dont 54 % d’hommes (on dénombre 900 000 journaliers et 200 000 domestiques).
Vers 1851, dans l’Aisne, un journalier non nourri gagne environ 1,25 F par jour (cf. 1871).
Au recensement de 1851, les ouvriers sont au nombre de 4,4 millions : seulement 25 % travaillent dans des établissements de plus de 10 salariés ; les autres sont employés dans de petites usines rurales.
En février, la loi fixe les règles de l’apprentissage et précise que « le maître d’apprentissage doit se conduire envers l’apprenti en bon père de famille, surveiller sa conduite et ses mœurs, soit dans la maison, soit en dehors ». Il a l’obligation de formation de ses apprentis.
Dans l’industrie textile, adoption progressive du filage mécanique… Singer lance la fabrication en série de ses machines à coudre.

Sources :
- D’après Contexte fiche 1851.

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Le parcours du combattant et l’achat d’un remplaçant (épisode 20) par Danièle Treuil

Antoine est inquiet. Toutes les démarches menées jusque-là pour permettre à son fils de se faire réformer n’ont pas abouti. Claude en a-t-il d’ailleurs vraiment envie ? Antoine veut essayer une dernière tentative, avant de se résoudre à payer un remplaçant. Pourra-t-il y parvenir ?

La petite histoire de nos ancêtres

Une forme nouvelle de repas bourgeois dans les années 1890 à Paris par Alain Morinais

Ce récit est un extrait du roman de Céline « Au prix du silence ». L’histoire de la vie d’une femme dont le silence laissera croire un siècle durant qu’elle était sans histoires. Cette fiction-documentaire d’Alain MORINAIS, dans l’esprit des « Laboureurs d’espoirs », met en scène des personnages nous faisant revivre le siècle de Céline, héroïne malgré elle d’une histoire pour l’Histoire de la condition féminine.

La petite histoire de nos ancêtres

Qui pourra m’aider à identifier ce camp en Allemagne ? par Martine Wackers

Cette carte se trouvait dans l’album familial de mes parents. Au dos est inscrit un petit mot personnel de mon père adressé à ma mère où il dit avoir passé 10 longs mois dans ces baraques pendant la dernière guerre mondiale. A-t-il pu lui envoyer cette carte sous enveloppe car aucune adresse ne figure au dos ou l’a-t-il ramenée de là-bas ? Qui pourra m’aider à identifier et localiser ce camp ?
Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désignait autrefois un producteur et vendeur de fraises.


Les mots du passé : Ce mot désigne une redevance féodale versée au seigneur pour avoir le droit de faire paître un troupeau sur son domaine.


QCM : jouez et testez vos connaissances sur le thème de Nos ancêtres, les archives et l’Histoire...

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Théma n° 5 : Nos ancêtres au temps de la peste (à paraître fin décembre 2013).

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Thierry Sabot

Au sommaire de cette semaine

Jouons un peu
Les noms de famille : Ce nom de famille désigne celui ou celle qui fait des matelas.


Les mots du passé : A la fin du Moyen Age, ce mot désignait une boîte de bois pour mettre le sel, la farine ou autres provisions.


QCM : Jouez et testez vos connaissances sur le thème de Nos ancêtres, les archives et l’Histoire...

Serez-vous pendu ?

Histoire - Généalogie
La petite histoire de nos ancêtres

Une chronique familiale et une aventure généalogique : Antoine en sa jeunesse, entre Révolution et Empire (épisode 21) par Danièle Treuil

Après les épisodes concernant les Claude, je continue à rebrousser chemin, dans cette terre du Forez, avec leurs parents Antoine Pras et Claudine Coudour. Nous avons déjà rencontré Antoine à plusieurs reprises. Il est né en 1779, Claudine en 1784. C’est juste avant la Révolution. Un vent nouveau va souffler jusque dans ces campagnes, bousculant notamment les traditions familiales et les usages en matière de succession. Antoine n’échappera pas à tous ces bouleversements. Il cherchera sa voie, non sans beaucoup de tracas et de labeur. C’est toujours le temps des ruptures.Retour ligne automatique

Je vous propose de parcourir ensemble les différentes étapes qui ont jalonné son itinéraire, en m’appuyant sur les nombreux documents qu’il a laissés, une centaine. Pour l’instant, il s’agit de sa jeunesse.

La petite histoire de nos ancêtres

Au nom du père inconnu ou « de l’utilité de relever minutieusement les acteurs des divers actes » par Aline Chéreau

Voici une petite histoire édifiante sur la recherche, a priori impossible, d’un père inconnu. Une de mes trisaïeules prénommée Madeleine a eu pas moins de 9 enfants dont mon arrière grand-père Henry, ce dernier né de père inconnu.

La petite histoire de nos ancêtres

Les Filles du Roy : Commémoration et noms de famille par Michèle Champagne

Combien sont-elles, ces Filles, pupilles du Roy, orphelines, filles de joie, veuves, mères célibataires, issues pour certaines de milieu bourgeois ? Elles ont confié leur destin au Nouveau-Monde en guise d’espoir, destinées qui ont sombré dans l’oubli pour la plupart, d’autres ont laissé des traces dans les villages du Québec. Pleurs des berceaux, cris des Rebelles, luttes aux côtés de leurs époux... Pour ne pas les oublier, le Québec et la France commémorent le 350e anniversaire de l’arrivée des Filles du Roy. Un rendez-vous à ne pas manquer !

Vient de paraître

Lambesc (XVIe-XIXe siècles), son terroir, ses domaines et ses gentilshommes par Alexandre Dumont-Castells

Une invitation à travers les routes de campagne de Lambesc et Charleval (Bouches-du-Rhône), à la découverte des anciens fiefs et domaines et de leurs habitants entre le XVIe et le XIXe siècles.

C’est arrivé en ce temps-là
Le contexte économique en 1851

En 1851, les récoltes surabondantes font chuter les prix des denrées, notamment les céréales, la pomme de terre, le vin et le bétail.
Développement des métiers du commerce dans les campagnes : les auberges-épiceries concurrencent sérieusement les colporteurs. Même si les départs définitifs vers les villes s’intensifient (notamment vers les villes industrielles et les grands ports), les campagnes n’ont jamais été aussi peuplées. Le travail rural à domicile est mis à mal par la grande industrie et les droits d’usage divers (pâturage, cueillette) sont vivement contestés par les grands propriétaires. Pour l’essentiel, les ruraux vivent encore en autarcie (autoconsommation industrielle paysanne). Alors que les trois quarts des Français vivent dans les zones rurales, la population active agricole est de 14,3 millions de personnes, dont 54 % d’hommes (on dénombre 900 000 journaliers et 200 000 domestiques).
Vers 1851, dans l’Aisne, un journalier non nourri gagne environ 1,25 F par jour (cf. 1871).
Au recensement de 1851, les ouvriers sont au nombre de 4,4 millions : seulement 25 % travaillent dans des établissements de plus de 10 salariés ; les autres sont employés dans de petites usines rurales.
En février, la loi fixe les règles de l’apprentissage et précise que « le maître d’apprentissage doit se conduire envers l’apprenti en bon père de famille, surveiller sa conduite et ses mœurs, soit dans la maison, soit en dehors ». Il a l’obligation de formation de ses apprentis.
Dans l’industrie textile, adoption progressive du filage mécanique… Singer lance la fabrication en série de ses machines à coudre.

Sources :

D’après Contexte fiche 1851.

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